Équipements, SERVICE PUBLIC: Hotel de Ville
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Hotel de Ville
74200 Thonon-les-bains
Publié le – Mis à jour le
Le droit de visite et/ou d’hébergement doit être appliqué par les parents séparés ou divorcés tel qu’il a été fixé à l’amiable dans une convention ou par décision judiciaire. L’exercice de ce droit peut toutefois poser des questions d’interprétation ou de pratique. Nous répondons à ces questions.
Les règles diffèrent selon les jours où s’exercent le droit de visite et d’hébergement.
Le 1er week-end du mois commence le 1er samedi du mois même si votre droit de visite et d’hébergement s’exerce dès le vendredi à la sortie de l’école.
Il arrive que le parent bénéficiaire du droit peut avoir l’enfant 2 week-ends de suite lorsqu’il y a 5 week-ends dans le mois : le 5e week-end du mois et le 1er week-end du mois suivant.
Si le dernier jour du mois est un samedi, il est considéré comme étant le dernier week-end du mois.
L’année civile est découpée en 52 semaines numérotées. La semaine 1 commence le 1er lundi de l’année. Le 1er week-end de l’année est un week-end impair.
Une journée en milieu de semaine peut être prévue en complément des droits de visite et d’hébergement des week-ends.
Lorsqu’il n’est pas prévu de disposition dans le jugement ou la convention, votre droit s’exerce dès la sortie des classes. Cela peut être du mardi soir au mercredi soir par exemple.
Le jugement ou la convention peut prévoir que votre enfant doit être chez sa mère pour le week-end de la fête des mères et chez son père pour la fête des pères.
Si rien n’est prévu, il est d’usage que votre enfant soit chez sa mère pour la fête des mères et inversement pour la fête des pères, quelque soit le calendrier d’alternance des week-ends.
Pour les familles homoparentales, la décision se prend au cas par cas.
Si un jour férié ou chômé tombe avant ou après un week-end où vous avez votre enfant et si rien n’est précisé dans le jugement ou la convention, il est d’usage que ce jour fasse partie du week-end.
Fête légale |
Date |
---|---|
Jour de l’An |
Lundi 1er janvier 2024 |
Lundi de Pâques |
Lundi 1er avril 2024 |
Fête du Travail |
Mercredi 1er mai 2024 |
Victoire 1945 |
Mercredi 8 mai 2024 |
Ascension |
Jeudi 9 mai 2024 |
Lundi de Pentecôte |
Lundi 20 mai 2024 |
Fête nationale |
Dimanche 14 juillet 2024 |
Assomption |
Jeudi 15 août 2024 |
Toussaint |
Vendredi 1er novembre 2024 |
Armistice 1918 |
Lundi 11 novembre 2024 |
Noël |
Mercredi 25 décembre 2024 |
Fête légale |
Date |
---|---|
Jour de l’An |
Lundi 1er janvier 2024 |
Vendredi Saint (dans les communes ayant un temple protestant ou une église mixte) |
Vendredi 29 mars 2024 |
Lundi de Pâques |
Lundi 1er avril 2024 |
Fête du Travail |
Mercredi 1er mai 2024 |
Victoire 1945 |
Mercredi 8 mai 2024 |
Ascension |
Jeudi 18 mai 2023 |
Lundi de Pentecôte |
Lundi 20 mai 2024 |
Fête nationale |
Dimanche 14 juillet 2024 |
Assomption |
Jeudi 15 août 2024 |
Toussaint |
Vendredi 1er novembre 2024 |
Armistice 1918 |
Lundi 11 novembre 2024 |
1er jour de Noël |
Mercredi 25 décembre 2024 |
2e jour de Noël |
Jeudi 26 décembre 2024 |
Fête légale |
Date |
---|---|
Jour de l’An |
Lundi 1er janvier 2024 |
Lundi de Pâques |
Lundi 1er avril 2024 |
Fête du Travail |
Mercredi 1er mai 2024 |
Victoire 1945 |
Mercredi 8 mai 2024 |
Ascension |
Jeudi 9 mai 2024 |
Lundi de Pentecôte |
Lundi 20 mai 2024 |
Fête nationale |
Dimanche 14 juillet 2024 |
Assomption |
Jeudi 15 août 2024 |
Toussaint |
Vendredi 1er novembre 2024 |
Armistice 1918 |
Lundi 11 novembre 2024 |
Noël |
Mercredi 25 décembre 2024 |
En plus des fêtes légales nationales, le jour de la commémoration de l’abolition de l’esclavage est un jour férié dans les Drom . La date varie selon le département, dans les conditions suivantes :
Dom concerné |
Date |
---|---|
Guadeloupe |
27 mai |
Guyane |
10 juin |
Martinique |
22 mai |
Mayotte |
27 avril |
La Réunion |
20 décembre |
Saint-Barthélemy |
9 octobre |
Saint-Martin |
27 mai |
Les vacances scolaires débutent après le dernier cours des jours indiqués dans le calendrier officiel. La reprise des cours s’effectue le matin des jours également indiqués dans le calendrier officiel :
Si le jugement ou la convention ne prévoit pas d’autres dispositions, l’alternance habituelle des semaines se poursuit.
Le jugement ou la convention peut prévoir une alternance pour les vacances de Noël : votre enfant passera ces fêtes une année sur 2 avec vous.
L’exercice du droit de visite et d’hébergement pendant les vacances scolaires est indépendant des règles d’alternance des week-ends : le système des week-ends ne s’applique plus.
Le jugement ou la convention peut prévoir une alternance des semaines (par exemple : la première semaine des vacances chez le père les années paires et la deuxième les années impaires).
La première semaine des vacances débute le premier jour des vacances indiqué par l’académie dont dépend l’établissement de votre enfant.
Que vous soyez dans la situation d’une garde alternée ou d’un droit de visite et d’hébergement, la période des vacances scolaires d’été fait l’objet d’une organisation particulière.
Le jugement ou la convention peut prévoir que chaque parent a la garde de l’enfant selon un des découpages suivants :
Moitié des vacances scolaires
Mois de juillet ou mois d’août
Alternance par période de 15 jours (si l’enfant est en bas âge par exemple).
La première semaine des vacances d’été débute le premier jour des vacances indiqué par l’académie dont dépend votre enfant.
Le calendrier des vacances s’impose (et non le calendrier des week-ends). Par exemple, votre enfant doit passer le 1er week-end avec vous, mais ce week-end fait partie de la période de vacances attribuée à l’autre parent. Dans ce cas, votre enfant part en vacances chez ce parent. Vous exercerez votre droit de visite et d’hébergement le prochain week-end en dehors de la période des vacances.
Vous ne devez pas tenir compte du calendrier des week-ends pendant la période des vacances.
Formulaire de demande de changement de nom de famille
Notice
La loi du 4 mars 2002 a remplacé la notion de «nom patronymique» par celle de «nom de famille», en donnant la possibilité à chacun des deux parents de transmettre à leur enfant leur patronyme ou bien les deux, dans l’ordre de leur choix.
Pour distinguer les doubles noms, une circulaire du 6 décembre 2004 a prévu d’écrire les deux noms des parents en les séparant par un double tiret (- -).
Suite à une décision du Conseil d’État rendue le 4 décembre 2009, censurant le caractère obligatoire de ce double tiret, une nouvelle circulaire du 25 octobre 2011 stipule que le double tiret disparait au profit d’un simple espace.
Tous les actes de naissance avec le séparateur (- -) entre les noms de famille, peuvent faire l’objet d’une rectification administrative.
Si vous êtes concernés, rapprochez-vous du service Population en Mairie en remplissant le formulaire correspondant ci-dessous :
demande de rectification en vue de supprimer le double tiret dans l’acte de naissance (majeur)
demande de rectification en vue de supprimer le double tiret dans l’acte de naissance (enfants mineurs)
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