Le nom de famille

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Que devient votre animal de compagnie en cas de séparation ?

Un animal de compagnie est un être vivant doué de sensibilité. Toutefois, il reste considéré comme un bien sauf lorsqu’un texte prévoit une autre disposition.

En cas de séparation, aucun texte ne prévoit de disposition particulière s’agissant de votre animal de compagnie. En conséquence, en cas de séparation, l’animal de compagnie est soumis aux mêmes règles que les autres biens de votre couple.

Ces règles varient selon que vous viviez en concubinage, que vous étiez pacsés ou mariés avec ou sans contrat de mariage :

Si vous étiez mariés sans contrat de mariage, c’est-à-dire sous le régime de la communauté réduite aux acquêts, l’animal acheté ou adopté avant votre mariage reste la propriété de l’époux qui l’a acquis ou adopté.

En revanche, si l’animal a été acheté ou adopté pendant votre mariage, il est considéré comme un bien commun aux 2 époux, qu’il ait été acheté ou adopté par un seul d’entre vous ou par vous 2.

Dans ce cas, vous décidez d’un commun accord, qui garde l’animal.

En cas de désaccord, c’est le juge qui décide.

    La propriété de l’animal est fixée selon les dispositions de votre contrat.

        Si l’animal a été acheté ou adopté par un seul d’entre vous, il n’appartient qu’à cette personne. Elle le conserve en cas de séparation.

        Il en est de même si l’un d’entre vous a acquis ou adopté l’animal avant le concubinage ou le Pacs.

        En revanche, si l’animal a été acheté ou adopté par les 2 membres du couple, il est considéré comme un bien indivis , c’est-à-dire comme appartenant aux 2 membres du couple.

        Il en est de même si le membre du couple qui a acheté ou adopté l’animal ne peut pas prouver son achat ou son adoption et que l’autre membre du couple revendique aussi la propriété de l’animal.

        Dans ces 2 cas, vous décidez d’un commun accord, qui garde l’animal.

        En cas de désaccord, c’est le juge qui décide.

          Animal de compagnie

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            Retrait du tirait séparateur

            La loi du 4 mars 2002 a remplacé la notion de «nom patronymique» par celle de «nom de famille», en donnant la possibilité à chacun des deux parents de transmettre à leur enfant leur patronyme ou bien les deux, dans l’ordre de leur choix.
            Pour distinguer les doubles noms, une circulaire du 6 décembre 2004 a prévu d’écrire les deux noms des parents en les séparant par un double tiret (- -).

            Suite à une décision du Conseil d’État rendue le 4 décembre 2009, censurant le caractère obligatoire de ce double tiret, une nouvelle circulaire du 25 octobre 2011 stipule que le double tiret disparait au profit d’un simple espace.
            Tous les actes de naissance avec le séparateur (- -) entre les noms de famille, peuvent faire l’objet d’une rectification administrative.

            Si vous êtes concernés, rapprochez-vous du service Population en Mairie en remplissant le formulaire correspondant ci-dessous :

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            • demande de rectification en vue de supprimer le double tiret dans l’acte de naissance (majeur)

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            • demande de rectification en vue de supprimer le double tiret dans l’acte de naissance (enfants mineurs)

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            Horaires du service Population

            • Lundi : 8h – 12h / 13h30 – 17h
            • Mardi :8h – 12h / 13h30 – 17h
            • Mercredi : 8h – 12h / 13h30 – 17h
            • Jeudi : 8h – 12h / 14h – 17h
            • Vendredi : 8h – 12h / 13h30 – 17h
            • Samedi : 9h – 12h

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